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Psittaciformes disparues

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L'Ara glauque (Anodorhynchus glaucus)

L'Ara glauque (Anodorhynchus glaucus), tout comme l'Ara hyacinthe et l'Ara de Lear, appartient au genre Anodorhynchus.

Cet oiseau mesurait environ 72 cm et possédait un plumage bleu gris nuancé, de nettes zones de peau nue jaune autour des yeux bruns et à l'attache de la mandibule inférieure du bec, gris noir et puissant. Les pattes étaient grisâtres.

Il vivait dans une aire couvrant le Paraguay, l'Argentine, l'Uruguay et l'extrême sud-est du Brésil. Devenu rare durant la seconde moitié du XIXe siècle, seules deux observations ont été réalisées durant le siècle suivant. Malgré des recherches dans son aire de répartition et plusieurs rumeurs de son signalement (notamment un botaniste qui effectuait des recherches sur les orchidées aurait observé un groupe de six oiseaux en Argentine en 1997), on le considère comme une espèce disparue.

Le dernier spécimen vivant connu est mort au zoo de Buenos Aires en 1938.

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Ara d'Hispaniola (Ara tricolor)

L’Ara tricolore anciennement Ara d'Hispaniola (Ara tricolor) était une espèce endémique des l'île des Pins et de Cuba ainsi que probablement d'>Hispaniola. Il était chassé pour sa chair et pour être revendu comme animal de compagnie. Le dernier spécimen prélevé le fut en 1864 et la dernière observation de cet oiseau date de 1885. L'espèce est aujourd'hui considérée comme éteinte.
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Conure à tête jaune (Conuropsis carolinensis)

La Conure de Caroline ou Conure à tête jaune (Conuropsis carolinensis) était uneespèce oiseau appartenant à la famille des Psittacidae.
Seul perroquet de l'est des États-Unis, il fut chassé jusqu'à l'extinction pour ses plumes et pour protéger les cultures. Le dernier spécimen est mort au zoo de Cincinnati en 1918.

 

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Perruche de Raiatea (Cyanoramphus ulietanus)

La Perruche de Raiatea (Cyanoramphus ulietanus) (Gmelin, 1788) est connue de deux spécimens, récoltés lors du voyage du capitaine James Cook(1728-1779) en 1773 sur l'île de Raiatea en Polynésie française. Ceux-ci sont conservés pour l'un à Vienne et a Muséum de Tring en Grande-Bretagne. Les causes de sa disparition sont communes à d'autres espèces insulaires : la destruction de son habitat, la chasse et l'introduction d'espèces exogènes.

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Perruche de Tahiti (Cyanoramphus zealandicus)

La Perruche de Tahiti ou Kakariki de Tahiti ou encore Kakariki à front noir (Cyanoramphus zealandicus (Latham, 1790)) était présente uniquement dans les forêts des vallées de Tahiti, où son cri fort s'entendait de loin. On ignore tout de son comportement, ses habitudes de reproduction, son alimentation...
Le dernier individu de cette espèce a été collecté en 1844 par le lieutenant de Marolles et l'espèce s'est sans doute éteinte peu après cette date. La perruche de Tahiti n'est connue que par des gravures et cinq spécimens naturalisés. Deux sont déposés au musée de l Liverpool et un au Muséum de Tring : ils ont été récoltés lors du voyage du capitaine James Cook (1728-1779) en 1773. Le quatrième est au Muséum national d'histoire naturelle de paris et le cinquième est à Perpignan. Sa disparition est attribuée à la destruction de son habitat, à la chasse et à la prédation par des espèces exogènes introduites sur l'île.

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Mascarin de Maurice (Lophopsittacus mauritianus)

Le mascarin de Maurice (Lophopsittacus mauritianus) est un psittacidé aujourd'hui disparu autrefois endémiqueà l'île Maurice.

Son existence est avérée par de nombreux os et des récits de voyageurs. Il était grand et son vol peu assuré. Il fut donc beaucoup chassé et c'est là la cause la plus probable de sa disparition. Hoffman signale en 1680 que les dernières observations de l'oiseau datent de 1673à 1675.

Porteur d'un large bec, il est parfois appelé perroquet mauricien.

 

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Perroquet de Benson

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Le Mascarin de la Réunion (Mascarinus mascarin)

Le Mascarin de la Réunion (Mascarinus mascarin) est un psittacidé aujourd'hui disparu autrefois endémique à l île de la Réunion.

Le nom scientifique Mascarinus mascarinus donné par certains auteurs est invalide, car il ne respecte pas la règle qui maintient le premier nom d'espèce donné (Psittacus mascarin Linnaeus, 1771).

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Perroquet de Rodrigues (Necropsittacus rodericanus)

Le Perroquet de Rodrigues (Necropsittacus rodericanus) est une espèce de perroquet autrefois endémique de l'île Rodrigues et aujourd'hui disparue.

Son existence est attestée par plusieurs récits de voyageurs et quelques découvertes d'os plus récentes. Alexandre Guy Pingré est le dernier à l'avoir décrit en 1763 en se basant sur des observations faites en 1761. L'oiseau a probablement disparu peu après.

On soupçonne le perroquet rouge et vert disparu à la Réunion de ne former qu'une seule espèce avec le perroquet de Rodrigues. L'oiseau de l'île Maurice appelé Necropsittacus francicus étant lui-même soupçonné d'être de la même espèce que le volatile réunionnais, il se pourrait qu'un ensemble d'oiseaux décrits dans les trois îles principales des Mascareignes ne forme au final qu'un seul taxon.

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Nestor de Norfolk (Nestor productus)

Le Nestor de Norfolk (Nestor productus) était une espèce de gros oiseau à bec proéminent, au plumage brun-olive et au poitrail orange.

Cette espèce disparue vivait sur l’île de Norfolk. Elle a été décrite pour la première fois par Johann Reinhold Forster (1729-1798) et son fils Georg Forster (1754-1794) lors de la découverte de l’île par le capitaine James Cook (1728-1779) le 10 octobre 1774. L’espèce fut chassée par les premiers colons ou réduits en captivité. Elle dût disparaître à l'état naturel au début du XIXe siècle. Le dernier spécimen s’est éteint à Londres en 1851.

C’est John Gould (1804-1881) qui fait paraître la première description scientifique de l’espèce. Lors de son voyage en Australie, il établit que l’oiseau était aussi présent sur l’île Phillip, inhabitée.

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Perruche de paradis

La Perruche de paradis fréquentait les prairies et la savanne peu boisée du Queensland et du nord de la Nouvelle-Galles du Sud en Australie. Sa dernière observation date de 1927. Cinq spécimens auraient été observés en 1990 mais ceci reste controversé. L'espèce a probablement disparu suite à la perturbation par l'homme de son habitat (par le pâturage, l'incendie volontaire des prairies), par la chasse et par l'introduction de nouveaux prédateurs.

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Perruche de Newton (Psittacula exsul)

La Perruche de Newton (Psittacula exsul) était une petite espèce de Psittacidae aujourd'hui disparue endémique des forêts de l'île Rodrigues.

Elle a été observée pour la première fois par François Leguat, qui était à la tête d'un groupe de huit Huguenots qui ont colonisé l'île de 1691 à 1693. Selon ses descriptions, cet oiseau se trouvait alors en grand nombre. La mention suivante faire à la perruche est le fait du mathématicien Alexandre Guy Pingré, qui a voyagé à Rodrigues en 1761 pour observer le transit de Vénus. Il note que l'oiseau est devenu rare.

Un spécimen a été envoyé par Sir Edward Newton (administrateur colonial de Maurice) à son frère Alfred, qui a officiellement enregistré l'oiseau en 1872. Le dernier individu vivant a été observé en 1875.

Deux spécimens complets et des os fossilisés ont été conservés. L'extinction de l'espèce a probablement été causée par la conjugaison de chasse et de destruction de son habitat.

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Perruche des Seychelles

La Perruche des Seychelles n'était connue que des îles de Mahé et de Silhouette dans l'archipel des Seychelles. Rare au moment de sa description, le dernier spécimen capturé date de 1881. Les derniers spécimens captifs s'éteignirent deux ans plus tard. Les raisons de sa disparition sont la destruction de son habitat et la chasse. On estime que dix spécimens sont actuellement conservés dans des muséums à travers le monde.

Référence Wikipédia

 








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